Arcade Fire

Ce soir, la chaleur est accablante. Il fait 30°C au salon, situé rue Quelquepart à Montréal. Je suis affalé sur mon divan. Le ventilateur au plafond est un Dieu semeur de vent. Sans lui, il ne me suffirait pas d’être torse nu.

Ce soir, je suis évaché et la nostalgie m’accompagne. J’ai envie de ma jeunesse et de ces rêves qui l’ornementaient. Nul mot ne pourrait mieux décrire ceux-ci, que le groupe présenté en deux vidéos ici-bas.

Une meute d’artistes réunis dans un complet abandon à l’œuvre qu’ils incarnent. Ils ne jouent pas que de la musique…

… Ils livrent un hommage à l’intensité de la vie; à la communion des musicalités; au délire harmonieux, salutaire et ardent!

Un band sublime, montréalais et transcendant.

J’ai nommé : Arcade Fire

Aparté/ Pleine Lune… écoute bien. Deux fois, s’il le faut. / Fin de l’aparté

(Comme je suis nostalgique, permettez-moi de retourner en arrière.)

Je danse et m’emballe sur cette musique, suant jusqu’à m’en donner des fraîcheurs. J’aurais aussi pu me payer la climatisation.